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Archives pour décembre 2009
SOFIA
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Cathédrale Alexandre Nevski
(un des symboles de la ville)
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Sofia est situé au pied du massif de la Vitosha (point culminant le Pic noir – 2290m) à environ 25 km de la chaîne des Balkans ; qui traverse le pays sur 500 km d’Ouest en Est.
Des traces attestent que le centre de la ville était occupé dès le néolithique (5°millénaire av.JC).
Dans l’Antiquité, une tribu Thrace des Serdes y vivait ; le village s’appelait Serdica (7°siècle avant JC).
Le nom actuel date de 1376 et la construction de la Basilique Sainte-Sophie, lieu de culte cher au coeur des sofiotes et qui veille sur la flamme du soldat inconnu ; monument installé à l’extérieur.
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Conquise par les romains en l’an 29 de notre ère, ceux-ci bâtirent d’épaisses murailles et en firent la capitale de l’une de leurs provinces sur la route Rome-Istambul.
Pillée par les Huns en 441, reprise en 809 elle devint une des villes féodales importantes.
Mais sous la domination ottomane de 1362 à 1879 elle périclita pour n’être plus qu’un gros bourg.
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La guerre russo-ottomane de 1878-1879, les libéra du joug turc ; c’est en remerciement que fut construite la grande cathédrale Alexandre Nevski, une des plus vastes pour les orthodoxes abritant le Patriarche de Bulgarie.
Notamment :
- elle peut accueillir 7000 fidèles
- dans sa crypte un musée présente la plus importante collection d’îcones d’Europe.
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Depuis sa libération,
la ville devenue la capitale du III° du Royaume de Bulgarie, s’est modernisé et agrandie jusqu’à accueillir 17% de la population du pays avec 1.250.000 bulgares.
Comprise dans une des 28 régions de l’État, l’agglomération de Sofia (24 districts, 3 villes satellites, 34 villages) est un grand centre sidérurgique-métallurgique-de construction mécanique.
L’Université date de 1888.
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Enfin pour le peuple français
la personnalité de ce pays la plus connue est
Sylvie VARTAN
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Un agréable but de vacances
afin de mieux connaître l’Europe !
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Le nom de Riga, (issu de la petite rivière Ridzene, affluent de la Daugava)
apparaît pour la première fois en 1198, mais la ville est officiellement fondée en 1201 par Albert de Buxhoeveden, évêque de Livonie, fondateur de l’Ordre des Chevaliers Porte-Glaive.
La cité a connu, comme toutes celles situées sur des axes de communications, une histoire mouvementée.
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Les marchands germaniques sont les premiers à installer des comptoirs dans les villages de Lives et de Lettesoù se côtoient pêcheurs-artisans-commerçants.
La ville, entrée en 1282 dans la Ligue Hanséatique est sous domination polonaise en 1561, suédoise en 1621, russe en 1710 …puis intégrée à la Lettonie en 1919.
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Après la deuxième guerre mondiale, annexée dans l’URSS, elle obtiendra son indépendance définitive le 21 août 1991.
Les remparts détruits au milieu du XIX° siècles, remplacés par une ceinture de grands boulevards et des constructions modernes foisonnant…incitèrent les autorités à solliciter l’inscription de la vieille ville sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO.
Cela est fait depuis 1997…préservant pour toujours la ville historique.
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La Lettonie fait partie de l’Union Européenne depuis le 1 mai 2004.
Riga en est la Capitale.
Avec 727 800 habitants, c’est la plus grande ville des États Baltes ; bien que la forte minorité de russsophones subisse un taux d’émigration depuis les nouvelles lois sur la naturalisation ; imposant des critères restrictifs ethnolinguistiques.
Les citoyens de Riga, fortement colonisés par les puissants voisins
(42,3% de lettons et 42,1 % de russes dans la ville),
cherchant, eux aussi, à préserver une identité.
Enfin, ville portuaire,
possédant le plus grand aéroport international des pays baltes, forte de son dynamisme, ses infrastructures, etc…
Riga affiche 50% des productions de l’économie nationale, en plus des administrations centrales et de nombreux sièges sociaux.
Une ville du passé tournée vers l’avenir à découvrir !
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On lit dans la presse que ce-mardi la diplomatie européenne voudrait faire entendre sa voix sur le statut de Jérusalem.
Ne peut-on être sceptique quant au résultat ? en pensant que notre continent est représenté par une personnalité issue :
- de l’ex-puissance qui assurait le protectorat de la région
- de l’actuel pays « toutou » des vues de Washington.
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Pour ma part Jérusalem ne doit être la capitale politique
- ni des israéliens
- ni des palestiniens
et avoir le statut unique et privilégié de Ville Sainte de l’Occident.
(Articles complémentaires : http://osee2.unblog.fr/).
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PRAGUE
libérée ?
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Pour les personnes de la génération le symbole de
PRAGUE
c’est le « Printemps de Prague«
et sa fin tragique
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On appelle Printemps de Prague la période de l’histoire de la Tchécoslovaquie, du 5 janvier 1968 au 21 août 1968, pendant laquelle le peuple, grâce à Dubcek, espérait dans une libéralisation de la société. Pendant ces mois le président voulait instaurer un « socialisme à visage humain ».
Ainsi :
- la liberté de la presse, d’expression, de circulation fut déclarée,
- un début de décentralisation économique engagée,
- une nouvelle constitution fit du pays une république fédérale unissant la Tchèquie et la Slovaquie.
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En pleine guerre froide, Brejnev eut peur de la dislocation du bloc soviétique.
Il lança les chars et troupes du Pacte de Varsovie pour une « normalisation« .
Tous les dirigeants du PCT de 1968 sont destitués, voire condamnés à la suite de procès manipulés. Des exclusions sont prononcées. Les intellectuels et de milliers de Tchèques perdent leur emploi.
L’armée prend le contrôle.
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La région de Prague est peuplée dès le paléolithique .
D’abord par un peuple Celte vers -200 ans les Boïens, puis une tribu germanique les Marcomans…chassés par les Avar…eux mêmes fuyant sous la pression des Slaves au VI° siècles.
Prague, selon la légende, est fondée par la princesse Libuse et son mari Premysl dès le IX° siècle.
Comme souvent sa situation géographique, à la croisée des routes commerciales européennes, en fait rapidement une ville principale. Là s’installera un duché des Premyslides, en 973,dont elle deviendra la capitale.
OtakarII fonde Malá Strana en 1257 qui reçoit une charte municipale autorisant la communauté allemande à s’auto-administrer.
Sur l’autre rive de la Vltava, la Vieille Ville de Prague se développe autour de son noyau historique de Týn peuplée de Tchèques et d’une communauté juive.
La ville connut la domination des Hasbourg…
mais surtout dans son histoire moderne celle de la Russie…dont le mémorable « Printemps de Prague » est un funeste épisode.
Article complémentaire http://osee.unblog.fr/2008/11/14
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Costa Gavras
a immortalisé le style de procès-purge de l’époque dans
« L’aveu« …
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De nos jours le peuple de la république Tchèque, comme tous les peuples européens, aimerai(en)t vivre en paix et dignement dans une société pacifiée au sein d’une Europe Unie solidaire-Indépendante…
Malheureusement si
le Pacte de Varsovie est parti…
le Pacte de l’OTAN veut s’inscruster sous son plus dangereux visage :
celui d’un impérialisme américain qui attise les tensions au Moyen-Orient et veut reporter ses frontières Est en l’Europe…piège qui fragilise le Vieux continent !
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Sur leurs sites on peut lire
République Tchèque : non à l’ingérence américano-mondialiste
Le 7 juillet 2008, le président tchèque Vaclav Klaus et des représentants américains mandatés par G.W. Bush signaient en grande pompe deux traités militaires dans le cadre du bouclier anti-missiles en Europe Centrale. Ancien membre du Pacte de Varsovie, la Tchécoslovaquie d’alors possédait une base soviétique à Brdy. Actuellement désaffectée, cette base sera remise en service avec l’installation de radars anti-missiles. Cette nouvelle base, véritable ingérence américano-mondialiste sur le sol tchèque, accueillera de nombreux soldats américains. Pour entrer en vigueur, ces deux traités militaires doivent être approuvés par le Parlement tchèque (Chambre Basse et Sénat) et avoir reçu le paraphe officiel de l’eurosceptique et turcophile Vaclav Klaus.
Au cours de l’été 2008, les stratèges américains acquis au mondialisme apatride avaient trépigné d’impatience et s’étaient livrés à 1 odieux chantage…/…les mondialistes apatrides soutenus par les néo-conservateurs et autres faucons sionistes, brandissent de fictives menaces nucléaires de la Corée du Nord et de l’Iran, accusé de concevoir clandestinement des armes de destruction massive…./…. De plus avec leurs fantasmes récurrents du nucléaire iranien et des mythiques armes de destruction massive, les USA cherchent tous les prétextes pour intervenir militairement dans le Golfe Persique afin de s’approprier les immenses richesses du Moyen-Orient…./…
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- « Moi, cela ne me plaît pas du tout d’avoir dans les environs des soldats et une base militaire. Je ne suis absolument pas d’accord. J’ai peur. Peut-être qu’ils le devraient, mais vont-ils vraiment nous protéger ? Je ne le sais pas. »
- « Nous avons chassé les Russes, et maintenant viendront d’autres étrangers ? Non, le terrain militaire est déjà là et ce serait vraiment trop ! ».
Parmi les 17 % de Tchèques qui seraient pour l’implantation de la base américaine, il y a par exemple certains habitants de Libava, en Moravie du nord :
« Je serais pour. C’est un terrain militaire et il devrait servir aux besoins de l’armée. Nous sommes membres de l’Alliance, tout d’abord, et ce serait une garantie de l’avenir de Libava. ».
Pour ou contre ? Du côté officiel et des commentateurs dans la presse tchèque, on serait plutôt pour avec des arguments tels que renforcement de la sécurité, création d’emplois, développement de la région. Les citoyens sont en général contre et invoquent la crainte des attaques terroristes, la peur des installations militaires.
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Alors
Libérée ?
La ville peut-elle ne penser qu’à offrir aux touristes
ses nombreux charmes historiques-artistiques et conviviaux ?
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Saint-Nicolas
est le Saint Patron de la Lorraine.
Il est réputé bienveillant
mais fait punir les enfants méchants
par le Père fouettard qui l’accompagne.
N’ont des friandises
des chocolats
que les enfants sages.
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Pourrait-il faire quelque chose pour
l’ EUROPE ?
Afin qu’elle ne disparaisse pas
politiquement parlant
dans le bourbier américo-afghan ?
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