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Angela Merkel a dit vouloir convaincre ses partenaires du G20 (le mois prochain à Toronto) du bien fondé d’une taxation sur les marchés financiers :
« Il ne faut pas être particulièrement perspicace pour deviner que ce n’est pas quelque chose sur lequel nous nous accorderons dès le dîner le premier soir … mais je ne pense pas que cela ruinerait les marchés si nous introduisions une taxe internationale, et je vais faire campagne pour cela », au sommet qui réunira fin juin dans la métropole canadienne les dirigeants des 20 pays les plus puissants du monde…
…ma requête au G20 et à la présidence sud-coréenne est: même si vos pays n’ont pas été particulièrement concernés par ces tendances … je pense que c’est une tâche qui doit être accomplie aussi dans les pays qui n’ont pas été touchés par la crise ».
Cette sorte de « taxe Tobin » …serait un prélèvement fixe du volume de toute transaction… semblable à une taxe sur la valeur ajoutée du secteur financier.
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La Corée du Sud présidera le prochain G20, Chin Dong-Soo, président de la commission des services financiers sud-coréenne pense pour sa part que :
« les problèmes budgétaires actuels en Europe renforceront l’importance du G20 comme instance de coopération internationale ».
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On sait que lors du dernier G20 la taxation des marchés lors des dissensions sont apparues au grand jour.
L’ultra-spéculation
l’attaque des pays par les prédateurs
vont-elles provoquer un consensus pour compenser les coûts :
du sauvetage des banques ?
de l’aide au pays ciblés ?
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Pourquoi critiquer la chancelière ?
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L’Euro est en danger.
L’Europe est sous pression des affairistes.
Ne faudrait-il pas :
un gouvernement de crise de toute la Zone Euro ?
décider de mettre à l’écart de certains postes
les dirigeants qui n’ont pas adopté cette monnaie continentale ?
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Angela a raison
d’interdire les ventes à découvert à nu !
Les citoyens de chaque pays devraient exiger la même rigueur de leurs responsables envers la cupidité folle des marchés…véritables moulins-à-vent brassant de la virtualité et sacrifiant les peuples en passant par dessous les gouvernements des États.
Il s’agit tout de même de transactions représentant quelques 615.000 milliards de dollars de transactions hors marchés sur les dérivés !
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Que pensent les analystes-experts-observateurs
de l’attitude de
Mr Trichet
dans la gestion des crises financières ?
Être directeur de la banque européenne
avec un tel nom
n’est-ce pas un symbole ?
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Soutenons la proposition allemande !
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